Anthologie de la poésie contemporaine serbe
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* * * Certaines œuvres parmi les anthologies et panoramas présentés ci-dessous se réfèrent non seulement à la littérature serbe mais aussi aux autres littératures nationales d’ex-Yougoslavie : dans ces cas précis nous avons signalé uniquement – afin de respecter le cadre thématique de cette Bibliographie – les références concernant les écrivains serbes. Les notices suivent l’ordre alphabétique des titres. * * * Anthologie de la nouvelle serbe : 1950 – 2000 / Choix de nouvelles, préface et présentation des auteurs par Milivoj Srebro. Traduction d’Alain Cappon et de Marija Bežanovska, Vladimir André Čejović et Anne Renoue, Pascale Delpech, Jean Descat, Harita et Francis Wybrands. – Larbey : Gaïa Editions, 2003. – 415 p. Table des matières : Milivoj Srebro : « Un regard sur la nouvelle serbe » ; Ivo Andrić : « Jelena, celle qui n’était pas » ; Miloš Crnjanski : « Mon ami qui est passé » ; Vladan Desnica : « Histoire du moine à la barbe verte » ; Branko Ćopić : « Expédition lune » ; Antonije Isaković : « Instant : Troisième récit à Čeperko » ; Aleksandar Tišma : « La rue égarée » ; Milorad Pavić : « Les miroirs empoisonnés » ; Miodrag Bulatović : « Conte sur le bonheur et le malheur » ; Borislav Pekić : « L'homme qui mangeait la mort » ; Dragoslav Mihailović : « Lilika » ; Svetlana Velmar-Janković : « La rue Filip-Višnjić » ; Danilo Kiš : « Il est glorieux de mourir pour la patrie » ; Branimir Šćepanović : « La honte » ; Filip David : « Le puits dans la forêt obscure » ; Vidosav Stevanović : « Bad trip » ; Milisav Savić : « Les funérailles de Tito » ; David Albahari : « Tentative de description du décès de Ruben Rubenović » ; Jovan Radulović : « Le jeu du faux Aliocha » ; Radoslav Petković : « L’homme qui vivait dans les rêves » ; Dragan Velikić : « La femme du catalogue » ; Svetislav Basara : « Falseland… le pays des faussaires ».
Anthologie de la poésie serbe contemporaine / Traduit du serbe et présenté par Boris Lazić. – Banja Luka : Udruženje književnika Srpske ; Paris : Un Infini Cercle Bleu, 2011. – 332 p. Table des matières : Boris Lazić : « Haut modernisme et poésie de fin de siècle » (introd.). Prologue / Radivoj Stanivuk : Anniversaire de la mort de Celan. ANTHOLOGIE / Milan Milišić : La rue qui portera mon nom ; (Nations) ; Epoque de bronze ; L’apostasie ; Fioles d’urines. Ranko Jovović : Ô coing, je te mangerai ; La fable ; Aube terrestre, ô que tu es sainte ; Soupir après la Bastille ; Quotidiennement. Ranko Risojević : Le père ; Dixième élégie bosnienne ; L’église ; Compte sur la mort ; Le matin ; L’écho ; Unis. Aleksandar Ilić : Je sais. Stevan Tontić : L’Europe, aujourd’hui et depuis toujours ; Mićo Tontić s’explique avec le seigneur ; Ma douce et sanguinaire tribu ; La mort tisse pour mon peuple des chemises et des caleçons ; Cette tête ; Ma femme. Milenko Vujičić : Le très-haut ; [L’infini s’éteint] ; Les signes ; Les vagabonds ; Soupir du vent ; Rose. Milosav Tešić : La colline de l’âne ; Tel un navire sur l’océan ; L’eau bonne, Joviz ; Gorge. Darinka Jevrić : Le monologue du poète ; Paroles du chroniqueur de la mort ; Les cloches de Dečani ; Une fresque. Jovan Zivlak : Dieu est infime ; A ce que je sache ; La languette ; L’arbre ; La conversion. Raša Livada : L’apprenti ; Les bannis ; Eglise Nikolajevska ; Les pères ; Purgatoire. Duško Novaković : Aux fils, pour un amour des pères, en somme ; Le droit aux confettis ; A une tête ; A une ville ; Epitaphe pour Danilo Kiš. Zdravko Kecman : Défense de la poésie ; La vieille ; Le pacte ; L’oubli ; Janvier ; Sian Williams ; Traversée de la promenade. Novica Tadić : Dostoievski ; Rongeur des saintes écritures ; Pétales ; Pouvoir obscur ; La momie ; Une plume arrachée à la queue d’une poule de feu ; [le monde est un divin]. Bratislav Milanović : Le poète aveugle ; Le chantre des Balkans ; Dans l’atelier de Ljubica Mrkalj ; Il y en a toujours un ; Dialogue avec le coauteur. Zdravko Krstanović : Un feuillet de l’Apocalypse ; La boucle d’or ; Hadès, rose, rosée ; Petit poème de nuit ; Note sur le Kalemegdan ; Pays sans moineaux ; Les rêveurs. Vojislav Despotov : J’écris des poèmes ; Les poèmes populaires ; La politique de Pénélope ; Awax ; Programme ; Zoran M. Mandić : Si tu restes sans tête ; La trahison ; Les autres. Slavoljub Marković : C’est passé, cela passe, cela passera ; La main ressent à travers l’objet ; [Nous avons bâti des villes] ; Dubrovnik. Ivana Milankova : Illusion ; Hadrien, pour les corps et pour les dieux ; Hommage ; Dans les angles blancs, alors qu’ils me crucifiaient. Selimir Radulović : Frères allemands éternels ; L’obscure, en rêve ; Lorsque se dissipèrent les heures ; Avril, pastel. Anđelko Anušić : Complainte sur la maison ; Epitaphe pour quelqu’un d’inconnu ; L’imbécile ; Favoris d’ahasvérus et des belles lettres ; Poème d’un moine anonyme du monastère Krka ; Le flocon ; Prière matinale de l’apatride. Vasa Pavković : Inaudible ; Le contraire ; Esquisse a propos des politiques en exil ; De la poétique ; Désespoir ; XII ; Boire du lait. Nebojša Vasović : Possibilité de savoir ; Le temps ; Les yeux ; Sonnet de l’émigré ; La plume ; Journal I. Nenad Grujičić : La vie et le rêve ; Les conséquences ; Impuissante puissance ; Après la naissance ; Le climat. Bećir Vuković : Sans raison apparente ; Citoyen X ; Librement ; Parc central ; Ce n’est pas drôle. Radomir Uljarević : Bologne ; Manuscrit ; Migration ; Pelote ; Rue Vuk Stefanović Karadžić ; Boite noire ; Etranger d’où viens-tu ? Simon Grabovac : Depuis cette perspective ; Mon seul ; On se regroupe ; 5.1 ; Maintenant que ; Pègre. Nebojša Devetak : Répondeur automatique ; Je n’ai rien ; Vivre en province ; Le métier de l’exil ; Vers l’autre rive ; Parfois je suis cruel ; L’église. Milenko Stojičić : La pyramide d’Arthur ; Acte de naissance universel ; Petit philosophe et grand garçon ; Entre nous, a propos d’apocalypse ; Onton ; Brigitte Bardot des lettres ; Soldat du verbe. Nikola Vujčić : (Dimanche) ; Dimanche, après-midi ; [j’ observe le blanc] ; Le langage ; Reconnaissance ; Les paumes sont des coquillages. Vlasta Mladenović : L’asile intérieur ; Cercle d’éternité ; Pour Héraclite l’obscur ; Voix de Delphes ; Poème journalistique ; Livres primes pour lecteurs naïfs ; Euroécriture ; Staniša Nešić : Voici l’homme ; Ivan Negrišorac : Guerre médiatique ; Peut-être vaut-il mieux ne pas survivre à la honte ; On passe encore l’examen du baccalauréat ; Non, je ne tremble plus en passant auprès des vitrines ; Regarde, ses moustaches pendent comme de la morve ; Branko Maširević : Sansangelisme ; La mort intérieure ; Psaume ; La main. Aleksandar Lukić : Pour Joseph. Nina Živančević : [On ne pense a l’art que] ; Eternité pédantesque ; Chasse royale ; Dans la ville qu’affectionnait Pessoa. Živko Nikolić : Création du monde ; Ouverture de la tombe ; Scandale ; La durée ; Sarcophage mon asile. Bajo Luković : Les têtes de pierre ; Parmi les ombres ; Cassure ouverte ; Bornes secrètes ; Jelena Lengold : L’amazone ; L’adieu ; A propos de solitude ; Sombres bibliothèques ; Poème mort-né. Radivoj Stanivuk : La tombe ; La cuisine, obscurité originelle des choses ; La poésie ; Cette vie que je me suis promise ; Du poète. Zoran Djerić : Avec le spectre de Laza Kostić ; Escapisme, élégie. Dragan Jovanović Danilov : Cimes enneigées ; Europe sous la neige ; Blanc ; La truite ; En une solitude insulaire. Goran Stojanović : Le sculpteur et l’opulence ; Voilà ; Le monde est une musique trompeuse ; Une corbeille de pleine lune pour le lendemain ; Les chaises du bar ; J’écris encore ce poème. Vojislav Karanović : Autopoétique ; Ouverture ; Le cinéma ; Le musée des figurines vivantes. Saša Jelenković : Continent de miel ; Journal de bord ; La forteresse ; Inoffensif. Zoran Bognar : Bordel america ; Les dieux des athées ; La terre gouverne le sousterrain ; Le germe de notre débâcle. Simo Mraović : [ J’ai rencontre un grand homme politique ] ; [Un ange habite l’ordinateur] ; [Il y a de cela quelques années] ; La merde sur de la merde ; Poète mon âme. Danijela Kambasković-Sawers : Vocation ; Emblème ; Emigration ; Chauffeur de taxi belgradois. Gojko Božović : Là où je suis ; Scènes ; Un monde retrouve ; La mesure ; Alen Bešić : Bouchée ; Summertime ; Transmutation ; Par la banlieue ; Cons : Bibliothèque. Petar Matović : Virus : Serbia ; Désir d’une écriture féminine ; Les feux de saint héraclite. Jasna Ani : [elle va traverser ton corps] ; [une inscription sur les os] ; [Je ris d’un rire de sang, solaire] ; Monstres de soie. Epilogue / Zoran Đerić : Là-bas, et de là-bas. Notices biographiques. Sources sur les activités poétiques du monde littéraire serbe.
Anthologie de la poésie yougoslave contemporaine / Trad. et avant-propos de Zoran Michitch. Avec notice sur les auteurs. – Paris: Seghers, 1959. Dix poètes serbes y sont présentés : Desanka Maksimovitch : « Dans l’orage », « A la mémoire de l’insurrection » ; Rastko Petrovitch : « Le voyageur », « Le rêve unique », « Toutes les écuelles sont vides » ; Douchan Matitch : « La mer », « Demain » ; Milan Dedinatz : « L’oiseau public », « Soudain surgit la faim » ; Skender Kulenovitch : « Stoyanka, mère de Knejpolié » ; Oskar Davitcho : « Enfance », « Serbie », « Hanna », « Le désespoir serein », « L’index » ; Vasko Popa : « Galet », « Jeux » ; Boro Pavlovitch : « Poissons » ; Stevan Raitchkovitch : « Le chant de l’herbe» ; Miodrag Pavlovitch : « Requiem », « Dans les bois », « Sonate ».
Anthologie de la prose yougoslave contemporaine / Rédigée sous la direction de Zoran Michitch. Trad. de Zorica Hadji-Vidoïkovitch et Vera Naumov, revue par Alain Bosquet et Sreten Maritch. Avant-propos de Jean Cassou. Notices biographiques Petar Djadjitch. – Paris: Seghers, 1959. - 285 p. - (Collection UNESCO d’auteurs contemporains, série européenne) Contient onze récits d’auteurs serbes (nouvelles et extraits des romans) : Ivo Andritch : « Le pont sur la Jépa » ; Miodrag Boulatovitch : « Les amants » ; Branko Tchopitch : « Un encombrant compagnon de route » ; Dobritsa Tchositch : « Les racines » ; Oskar Davitcho : « Le rêve de Vekovitch » ; Vladan Desnitsa : « L’histoire du moine à la barbe verte » ; Antonié Isakovitch : « Une cuillerée de kaïmak » ; Mihaïlo Lalitch : « La neige fond » ; Miodrag Pavlovitch : « Les pièges » ; Yara Ribnikar : « Grand-père et les oiseaux » ; Aleksandar Vutcho : « Solitude ».
Nouvelle prose serbe / Textes réunis par Mirjana Avramović-Ouaknine et Aleksandar Gatalica. Trad. de Philippe Gelez, Dragana Milosavljević, Christine Chalhoub-Jönsson, Vania Ventalon, Anastase S. Branica (pseudonyme), Marijana Stevanović, Nenad Tomić, Tatijana Nikolić-Babić. – Lausanne : L’Age d’Homme, 2004. – 152 p. – (Petite bibliothèque slave) Table des matières : Aleksandar Gatalica : « Un chef d’orchestre sans public » ; Mileta Prodanović: « Opéra céleste (para-essai) » ; Vasa Pavković : « Pour Esperanza Machado » ; Snežana Jakovljević : « La meilleure des dix » ; Mihajlo Pantić : « Košava, septième jour » ; Goran Petrović : « Mots » ; Dejan Stanković : « La trentième pièce d’argent » ; Vladimir Pištalo : « New York ou les buissons ardents » ; Vladan Matijević : « Chute libre ».
Nouvelles de Serbie / Choix de nouvelles et Avant-propos : Vesna Cakeljić. – Paris : Magellan & Cie, 2012. – 151 p. – (Collection Miniatures)* Table des matières : Vesna Cakeljić : Avant-propos. Srdjan Tešin, « Les touloumbas et la mort » ; David Albahari, « La femme de sa vie » ; Vladimir Pištalo, « Mostar » ; Ljubica Arsić, « Le bout du monde » ; Svetislav Basara, « Les aventures d’Omar Khayyame » ; Jelena Lengold, « Vagabondages ». Biographies des auteurs. *Les nouvelles incluses dans ce recueil sont traduites du serbe par Gojko Lukić sauf « Vagabondages » traduite par Jacqueline Busseron.
Quatre poètes serbes / Choix de poèmes de Lazarević, Dimitrijević, Marinković et Djidić. Trad. de V. Arapović. Adapt. J. L. Depierris. Préf. M. Petrović. – Gondargues : Gare d’informations poétiques, 1968.
Poésie paysanne serbe / Choix et trad. de Stevo Šolaja et Françoise Han ; suivi des textes originaux en serbe. Photos de Radoye Kavedjitch. Dessins de S. Mititch. – Chelles : « Avant-quart », 1969. - [non paginé]. Nouvelle éd. Paris, 47 bis, 1986. - 111 p. - (Poésie-bis ; n° 2) Les poèmes des poètes suivants y sont présentés : M. Tešić, M. Beljaković, V. Andrić, A. Djordjević, B. Simić, M. Luković, M. Jovović, S. Mitić, S. Stanković, S. Popović, P. Petronijević, D. Erić, D. Jevremović, St. Popović, R. Isailović et P. Beljaković.
Poèmes serbes / Traduction en vers de Jean-Marc Bordier. Postface de Milovan Danojlic. – Belgrade : ПЛАТΩ, 2002. – 132 p. Table des matières : Sava Mrkalj : Composé quand, vaincu et abandonné du monde entier, j’arrivai à l’hôpital de Gornji Karlovac ; Petar Petrović Njegoš : De notre vie le printemps est si bref ; Retourne à ton néant, terre maudite ; Branko Radičević : Quand je pensais mourir ; Đura Jakšić : Minuit ; Laza Kostić : Entre veille et songe ; Rêves rêvant ; Santa Maria della Salute ; Vojislav Ilić : La Turquie ; Jovan Dučić : Inscription ; L’âme ; Fatum ; Chant ; L’ombre ; Ma poésie ; Le mystère ; Milan Rakić : Le tremble ; Vladislav Petković Dis : Le Nirvâna ; Peut-être dort-elle ; Milan Ćurčin : Dans la forêt de Vienne ; Sima Pandurović : Célébration ; Nous, par la grâce de Dieu, enfants de ce siècle ; Jela Spiridonović-Savić : Les Perce-neige ; Ivo Andrić : Ex ponto ; Soif ; Je marche encore ; Fin ; Miloš Crnjanski : A la Yougoslavie ; Strajilovo ; Sumatra ; Momčilo Nastasijević : Quiétude des arbres ; Tristesse ; Pensée ; Rastko Petrović : Aux Lèvres un Baiser de Lumière ; Rade Drainac : Ma faim est infinie ; Risto Ratković : Les Anges d’antan ; Oskar Davičo : La Serbie ; Branko Miljković : Louange à l’univers.
Poésie surréaliste de Yougoslavie (La). Trad. faite d’après "Poezija nadrealizma u Beogradu 1924 –1933". Edition bilingue / Choix et introd. de Branko Aleksić. Trad. du serbo-croate par Vera Deparis, Bojana Jungić-Vladić, Milena Đorđić, Koča Popović, Tomislav Srdanović et Harita et Francis Wybrands. - Paris : Poésie-Bis, 1985. – 135p. – (Poésie-Bis, 1) Les textes des poètes serbes suivants y sont représentés : Monny de Boully : « Texte surréaliste » (« Nadrealistički tekst »), « Fantomalna zvona » (« Carillons fantômes ») ; Oskar Davičo : « Naufrage (« Brodolom »), « Četiri strane - i tako dalje » (« Quatre pages – et caetera »), « Diapazon noći » (« Diapason de la nuit ») ; Milan Dedinac : « Javna ptica » (« Oiseau public ») ; Mladen Dimitrijević alias Dimitrije Dedinac : « Knjiga brojeva » (« Le livre de nombres ») ; Đorđe Jovanović : « Govori… » (« Parle…»), « Slepe livade » (« Les champs aveugles ») ; Đorđe Kostić : « Zid nas prinosi…» (« Le mur nous porte…»), « Ako rastoči ljiljan…» (« Si le lys répand…») ; Dušan Matić : « Pune su oči noći » (« Les yeux pleins de la nuit »), « Za kap vatre » (« Pour une goutte de feu ») , « Mutan lov u bistroj vodi » (« La pêche trouble dans l’eau claire ») ; Koča Popović : « Iseljenik žablje savesti ili pretposlednji golub » (« Emigrant à la conscience de grenouille ou l’avant-dernier pigeon ») ; Risto Ratković : « Sve pišem...» (« Je ne cesse d’écrire…», « Crnci protiv Amerike » (« Des noirs contre l’Amérique ») ; Marko Ristić : « Se tuer » (« Ubiti se »), « Topla zver koja je ljubav » (« Ce fauve tiède qu’est l’amour »), « Spavaš li u telu » (« Dors-tu dans ton corps »), « Uspavanka kao porediti » (« Berceuse comme comparer »), « Zemlja smisla » (« Au pays de la raison ») ; Aleksandar Vučo : « Humor zaspalo » (« Humour l’endormi ») ; et Vane Živadinović-Bor: « Dva godišnja doba » (« Deux saisons »).
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