LE LIVRE DU MOIS : juillet - août 2012 |
>Les livres traduits<
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Mirjana Bobić-Mojsilović AUTOUR DE TON COU Traduit du serbe par Slobodan Despot Présentation de l'éditeur : Xenia Editions Après La Bouquineuse de Zoran Živković, acclamée par la critique francophone (coup de cœur de Jérôme Garcin, notamment), voici une nouvelle voix originale de la littérature d’Europe de l’Est. Romancière, peintre, journaliste, animatrice de télévision, Mirjana Bobić a insufflé dans cette fantasmagorie littéraire une expérience cruelle du manque, du doute et de la trahison. Eperdument amoureux de sa jeune étudiante, le professeur Stanislav Dugi a épousé Lena malgré la condition cruelle qu’elle lui a posée : lui permettre de disparaître pendant une semaine chaque année. Et chaque année, le mystérieux collier de cette Vouivre moderne s’est enrichi d’une nouvelle pierre semi-précieuse. Puis la magnifique jeune femme s’est éteinte prématurément d’un cancer. Déchiré par le chagrin et la jalousie, le professeur a tenté, avant de mourir, de reconstituer en imagination toutes ces semaines d’aventure et de débauche récompensées, à chaque fois, par une pierre de couleur aux charmes spécifiques. Mais si tout ceci n’était pas vrai ? Si ce n’était que le produit de son imagination malade ? Si la vérité était plus simple ? Petite encyclopédie des pierres et de leurs vertus, cette suite de fantasmes amoureux est surtout un roman bouleversant qui rejoint, par moments, les études classiques de la jalousie. |
L'Age d'homme
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Mirjana Bobić-Mojsilović LA FAIM Traduit du serbe par Arthur et Harita Wybrands Présentation de l'éditeur : L'Age d'Homme La Faim est un roman sur l’argent, l'envie, la soif de pouvoir, l’amour, le sexe, c’est le roman de toutes nos faims, de nos regrets et de nos hontes, de l’ascension et de la chute, le roman d’un Gatsby serbe, amer et déçu par sa ville natale, Belgrade, qui, pourtant, l'accueillant à nouveau comme le fils prodigue qu'il est devenu, le rendra meilleur et fera de lui un homme. Extrait Tout était comme d’habitude. La vie continuait. C’était encore une journée ordinaire. |
> Tous les mois < |