LE LIVRE DU MOIS : SEPTEMBRE 2018 |
Noir sur Blanc, 2015. 320 p
Oeuvres traduites de Le Siège de l’Église Saint- Sauveur
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Goran Petrović ATLAS DES REFLETS CELESTES Atlas opisan nebom Traduit du serbe par Gojko Lukic Présentation de l'éditeur : Noir sur Blanc En lisant Atlas des reflets célestes, on pourra s’initier à une géographie singulière, observer huit rêveurs dans une maison qui n’a d’autre toit que le ciel, mener une partie de cache-cache interrompue, apprendre à se défendre des voleurs de rêves, découvrir la nature secrète des miroirs, goûter un baiser simple comme un gâteau saupoudré de sucre glace, se familiariser avec l’infini palimpseste qu’est l’encyclopédie Serpentiana, battre les « dix millions de grands chemins de l’espoir » et aborder autant d’autres sujets décoiffants… « Au cours d’une vie, mais aussi après elle, les rêves peuvent rapetisser, croître, se léguer, se perdre, être empruntés, offerts, volés. Il faut veiller soigneusement sur eux. Il n’est pas que la taille totale d’un individu qui en dépende, mais, une fois faite la somme de tous les rêves, la taille totale de l’humanité. » |
Auteur : Goran Petrović Goran Petrović, né en 1961, est l’un des écrivains serbes contemporains majeurs. Il a remporté les plus hautes distinctions littéraires dans son pays. Ses œuvres sont traduites dans une vingtaine de langues, dont quatre en français : Soixante-neuf tiroirs, Le Rocher, 2003 ; Le Siège de l’église Saint-Sauveur, Seuil, 2006 ; Sous un ciel qui s’écaille, Les Allusifs, 2010 ; Atlas des reflets célestes, Noir sur Blanc, 2015, qui ont reçu un accueil très laudatif de la part de la critique française. Source : éditeur |
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Extraits de presse « Notre imagination (comme nous l’enseigne la science darwinienne) est un instrument qui nous permet de mieux comprendre le monde, de construire des modèles de ce monde pour savoir comment nous y conduire. C’est peut-être pour cela que nous rêvons, que nous concevons l’avenir, pour cela que nous lisons de splendides fictions comme cet Atlas des reflets célestes. » Alberto Manguel
Jean-Louis Tissier, Libération
Anne Pitteloud, Le Courrier |
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